Portrait de Femme : Lady Diana - Sonoko Azuma ; Natsuko Wada

 

Diana était une femme emplie de bonté, capable de comprendre la douleur d'autrui. Très tôt, elle devint princesse d'Angleterre et n'eut pas une vie de couple heureuse. Après la naissance de ses jeunes princes, elle découvrit que sa vocation se trouvait dans la charité et s'éloigna de la famille royale pour emprunter cette voie. Elle devint une princesse de légende, qui fit rêver le monde entier !

Je tiens à préciser que mon avis reste objectif, comme toujours. Il s'agit certes d'un envoi de l'auteur, mais j'ai pour principe de rester objective et impartiale, par respect pour moi-même et pour l'auteur. Un grand merci tout particulier à l'auteur pour cet envoi. Maintenant que tout cela est précisé, passons à la critique :)

Déjà, j'ai beaucoup aimé le début de la BD avec son introduction et son sommaire rempli d'illustration.

Dans cette BD, nous retrouvons différents aspects, des photos réelles de la royauté et aussi des dessins type manga qui illustre les propos.

De nombreux clins d'œil sont faits lors de cette BD, nous retrouvons l'histoire du prince William en couleur et le fantôme de sa mère en noir et blanc qui veille sur eux.

Suite à cela, nous allons découvrir l'histoire de la princesse Diana en couleur, troisième fille du Vicomte Althorp . Qui dit troisième fille dit pas de successeur et perte de titre pour sa famille. Ce qui engendra de nombreux problèmes dans sa famille, jusqu'au divorce de ses parents 6 ans après sa venue au monde.

Sa vie n'a pas été toute rose et elle a du grandir un peu seule, avec ses livres car son père était très absent et sa nourrice très sévère.

Dès son plus jeune âge, elle attirait les gens et transmettait de la joie autour d'elle. Sa bonté et bienveillance se faisait ressentir. Lors de ses 16 ans sa sœur a organisé un banquet avec des amis et c'est ce jour qu'elle rencontra le Prince Charles, il était le prétendant de son modèle,  sa sœur Sarah .

J'ai beaucoup aimé cette BD, le fait de connaître l'évolution de Diana, avec ses déboires familiaux et scolaire, la regarder grandir. En passant par des planches en noir et blanc et des planches colorées sur 144 pages.

Ce fut une lecture douce et agréable, à la fois nostalgique.